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 (elyo) n°22 On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T’appelles ça juste des amis toi ?

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Anastasia Lockwell
Anastasia Lockwell
ICI DEPUIS LE : 02/07/2014
PETITS MOTS ÉCHANGÉS : 41

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MessageSujet: (elyo) n°22 On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T’appelles ça juste des amis toi ?   (elyo) n°22 On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T’appelles ça juste des amis toi ? EmptyDim 6 Juil - 9:41




J'étais en manque... En manque de son sourire, de son regard qui transperce mes habits, de son corps contre le mien. Pourtant je savais que lui rendre visite était une mauvaise idée et mon esprit en était totalement conscient, sauf que mon corps ne voulait pas écouter. Il avait besoin de sentir celui d'Elyo contre le sien pour continuer de vivre et je le savais parfaitement. Vêtue d'un petit pull couleur crème et d'un jeans clair, je marchais lentement en direction du studio où il vivait et vu que nous vivions dans le même quartier, j'arrivais rapidement en bas de chez lui. Alors que je poussais un léger soupir d'agacement contre moi, mon corps était déjà arrivé derrière sa porte, mon doigt prêt à presser la sonnette de l'entrée. Je commençais de regretter d'être là, d'avoir tant besoin de lui et qu'il ne le sache même pas. Oui, nous avions promis qu'il n'y aurait aucun sentiment, mais le jeune homme aurait du se douter que les sentiments ne se contrôle pas et donc qu'ils pouvaient naître sans le vouloir. Mais qui sait, peut-être qu'il n'était pas là, que sa soeur allait m'ouvrir et me dire de repasser plus tard. J'en avais envie mais en même temps cela allait me chagriner s'il n'était pas présent dans le petit studio. Lentement, mon doigt pressa le bouton et la sonnerie retentit pendant que mon coeur accélérait dans ma poitrine et que mon corps le réclamait encore un peu plus maintenant que j'étais à quelques secondes de le voir.

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Elyo Weaver
Elyo Weaver
ICI DEPUIS LE : 27/04/2014
PETITS MOTS ÉCHANGÉS : 350

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MessageSujet: Re: (elyo) n°22 On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T’appelles ça juste des amis toi ?   (elyo) n°22 On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T’appelles ça juste des amis toi ? EmptyDim 6 Juil - 20:27




Être en colocation avec sa propre petite soeur ? Une putain de plaie. Genre la meuf, elle te lâche jamais, elle fait sa petite reine parce qu'elle est la plus jeune, elle ne range jamais rien, et le pire dans tout ça, c'est qu'elle ramène ses amies à n'importe quelle heure de la journée. Comme si moi je ramenais mes conquêtes dans notre minuscule studio, juste pour le plaisir de les baiser dans ma chambre. Non. Je ne ramène aucune d'entre elles parce que j'ai un minimum de respect pour Tara. Mais nooon, bien sûr, pourquoi elle se gênerait de ramener ses amies plus idiotes les unes que les autres ? J'vous le demande. Je poussais un profond soupire exaspéré tandis que je tambourinais contre la porte de la salle de bains. « Putain Tara, tu bouges ?! » Deux heures qu'elle était dedans. Deux heures qu'elle ne faisait je ne sais quoi en hurlant à la mort. Ouais, en faite, elle chantait. Mais c'était tout comme. « Tu fais chier morpionne. » A part ça, je l'adorais ma soeur. Vraiment. Mais elle me les cassait à un point inimaginable. Bref. Je m'affalais sur le canapé. Je n'avais certes rien à faire, mais j'avais envie d'aller pisser, bordel. Et avec notre chance incroyable, les toilettes se trouvaient dans la salle-de-bains. En même temps, ce studio aussi petit qu'inconfortable était le seul qu'on pouvait se payer avec nos revenus. Surtout que Tara était toujours aux études. Et que j'étais le paria de la ville. Je secouais la tête lorsque ma chèèère petite soeur daigna enfin sortir. « Et tu vas où comme ça ? » « Je sors avec des copines, m'attends pas pour manger, je rentre tard. » Et en plus, elle savait pas prévenir. Oh la chieuse. Alors qu'elle ouvrait la porte d'entrée pour partir, je pus enfin me soulager. Mais quelques minutes à peine plus tard, la sonnette retentissait déjà. Quand je vous disais qu'elle faisait chier son monde. Qu'est-ce qu'elle avait pu encore bien oublier ?! Etant dans un bâtiment fait de 3 studios et vivant au dernier, on avait un interphone. Mais la grande classe - ouais, fallait quand même bien avoir un truc de ouf - c'était qu'on avait non seulement le bouton pour ouvrir la porte d'en haut mais en plus, on avait une sorte de mini caméra, je pouvais donc voir directement qui s'était. J'allumais la dite caméra, apercevant Anastasia. J'haussais un sourcil. Qu'est-ce que diable elle foutait ici ? On ne se retrouvait jamais chez moi. Et quand je dis jamais, c'était jamais. En tout cas, pas pour baiser. Et comme on ne se voyait que pour baiser... J'avais du mal à comprendre ce qu'elle faisait ici. J'appuyais quand même sur la sonnette pour la laisser entrer, tout en parlant dans le micro « Troisième étage. » Ouvrant la porte d'entrée, j'attendais la jeune brune qui ne tarda pas à sortir de l'ascenseur. « Il y a un problème ? Qu'est-ce que tu fais ici ? » Oui, il y avait toujours mieux comme accueil. Mais disons que moi et les relations humaines... C'était assez tendus. Totalement inexistant enfaite. J'aimais juste les corps. Deux corps qui glissent l'un contre l'autre. Je me bougeais pour la laisser passer dans le studio. Me grattant l'arrière de la nuque, totalement incapable de savoir quoi faire quand une fille entre chez toi. Plus naze que toi, tu meurs mon gars.

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Anastasia Lockwell
Anastasia Lockwell
ICI DEPUIS LE : 02/07/2014
PETITS MOTS ÉCHANGÉS : 41

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MessageSujet: Re: (elyo) n°22 On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T’appelles ça juste des amis toi ?   (elyo) n°22 On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T’appelles ça juste des amis toi ? EmptyDim 6 Juil - 20:45

Dès le départ j'avais su que de venait chez Elyo était une très mauvaise idée et pourtant je n'avais pas résisté et avait donc pris mon courage à deux mains pour aller le voire. En tant normal on ne se retrouvait jamais chez lui, beaucoup trop petit et surtout pas assez d'intimité à cause de sa petite soeur. Mais allez savoir pourquoi, j'avais eu envie de me rendre chez lui, même si c'était pour me ramasser un vent. Comme je m'en étais doutée, son accueil ne fut pas du tout chaleureux et je vis bien dans son regard qu'il se demandait ce que je fichais là et moi aussi d'ailleurs. En tant normal, je lui envoyais un message et il débarquait chez moi dès qu'il pouvait, tandis que là, je l'avais pris totalement au dépourvu et que je le veuille ou non, cela m'amusait. Alors que je passais le pas de la porte de son petit studio, j'haussais légèrement les épaules à sa question. Oh oui, il y en avait pleins des problèmes, mai c'était des problèmes dont je ne pouvais malheureusement pas parler avec lui, vu que sa le concernait entièrement. Y a rien... J'avais juste envie de te voir, c'est un crime ? Je me tournai pour lui faire face et croisa les bras pour en même temps le regarder dans les yeux. Je n'avais pas du tout l'habitude d'être dans cette situation et je ne savais pas du tout quoi dire ou quoi faire. Si nous étions chez moi, il était presque certain qu'on serait déjà dans mon lit ou sur mon canapé à faire des choses pas très catholiques, mais là... Je lâchais enfin son regard pour observer l'endroit où il vivait et pour essayer de ne pas lui sauter dessus dans la seconde qui va suivre. Mais bon, si je dérange, je peux aussi repartir hein... T'attendais peut-être quelqu'un parce qu'après tout j'ai débarqué sans prévenir.
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Elyo Weaver
Elyo Weaver
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MessageSujet: Re: (elyo) n°22 On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T’appelles ça juste des amis toi ?   (elyo) n°22 On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T’appelles ça juste des amis toi ? EmptyMer 9 Juil - 19:39



Je dois dire que voir Anastasia dans mon appartement, là comme ça, en milieu d’après-midi, c’était assez… Etrange. Et pas du tout normal. De un, on ne se voyait pas pendant la journée, de deux, on baisait, on parlait pas. Enfin, à peu de chose près. Et la plupart du temps, je débarquais chez elle après un rapide sms quand ma libido me martelait les temples. Et cette fois-ci, elle était venue elle - déjà, je me demandais bien où elle avait eu mon adresse, m’enfin, passait encore - mais le pire, c’était qu’elle était venue sans prévenir. Enfin, le pire. Le questionnement dira-t-on. J’aurais très bien pu être avec une autre. Ah, ça aurait été un beau quiproquo. Enfin, pour l’autre. Anastasia, elle, elle savait que nous n’étions pas monogames entre nous, et je trouvais ça parfait. Pas besoin de vingt milles excuses différentes, pas de prises de tête. Rien que de la baise. Dès que les sentiments entraient en jeu, ça devenait très vite du grand n’importe quoi. On avait donc mis barrières et limites avant d’entamer quoique ce soit. Et tout allait sur des roulettes. Enfin, Tara dirait que « normal imbécile, t’es un gros handicapé des sentiments », ouais, probablement, mais ça n’empêche que ça ne m’empêchait pas de me faire plaisir. Beaucoup. « Envie de me voir ? » J’haussais un sourcil aussi haut que mon muscle me le permettait. C’était encore une notion avec laquelle j’avais beaucoup de mal. Personne n’avait jamais envie de me voir. Avant, ça signifiait problèmes à coup sûr. Aujourd’hui, c’était… non, c’était pas normal, je restais le paria de la ville dont personne n’avait envie d’avoir des problèmes. « Euh, ah, euh, d’accord. » Bon, techniquement ce n’était pas un crime mais c’était bizarre. Même si je m’étais barricadé dans une carapace anti-sentiments, je savais tout de même reconnaître les belles jeunes femmes. Et bordel, ce qu’Anastasia était belle. C’était peut-être la raison pour laquelle étrangement je revenais toujours dans son lit. Elle n’était pas belle à la Miss Monde. Elle avait une beauté atypique, sensuelle. Bref, fallait que j’arrête de penser à son corps, sinon, Elyo Junior allait faire des siennes. « Non, j’allais m’affaler devant la tv. Personne au programme. » Faut pas croire, je ne faisais pas un planning de quelle fille allait venir tel jour, loin de là. « Tu veux à boire ? Manger ? » Et je n’étais pas le meilleur des hôtes non plus. J’avais aucune idée de quoi faire. Lui proposer de s’asseoir ? L’embrasser, sur la joue, pour lui dire bonjour ? Je restais plutôt planter comme un con au milieu du mini salon-cuisine. « Sinon, j’ai du chocolat. » Tiens, du chocolat devrait pouvoir me rendre un peu moins con. Comme le studio était genre minuscule, la porte d’entrée se trouvait dans la cuisine. Et comme on avait pas bougé, Anastasia était devant l’armoire à chocolat. Faisant plus d’une tête qu’elle, je me penchais au-dessus de son petit corps pour ouvrir l’armoire. Bon, peut-être un peu trop proche. Ouais, bon, d’accord, c’était genre méga fait exprès. Mais tout ce que je connaissais avec elle, c’était des parties de jambes en l’air, et je ne savais pas comment me comporter autrement. Et puis surtout, j’avais pas envie de parler. Parler, c’est jamais bon. Donc peut-être que si j’arrivais à la dérider, à lui faire enlever ses vêtements, dans la demi-heure qui suivait, elle serait peut-être partie. Ouais, très gentleman ça Elyo. Pour attraper le paquet de biscuit fourré chocolat noir, j’effleurais son bras de mes doigts. « Tu veux ? » Chocolat ou tout autre substance, bien évidemment.
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Anastasia Lockwell
Anastasia Lockwell
ICI DEPUIS LE : 02/07/2014
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MessageSujet: Re: (elyo) n°22 On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T’appelles ça juste des amis toi ?   (elyo) n°22 On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T’appelles ça juste des amis toi ? EmptyDim 13 Juil - 11:03

Maintenant que je me trouvais chez elyo et en face de lui, je me demandais ce que je faisais là. Jamais je n'aurais du écouter mon envie et de débarquer à l'imprévu chez lui. Envie de quoi d'abord ? De lui ? De son sourire ? Aucune idée... Comme à chaque fois je me retrouvais en face de lui, mon cerveau se mettait sur OFF et mon corps sur ON. En tant normal c'était lui qui faisait le premier pas et qui débarquait chez moi après un SMS et je voyais bien dans sa gestuelle et son regard qu'il était totalement déstabilisé et cela lui donnait encore plus de charme. Un léger sourire charmeur apparu sur le coin de mes lèvres pendant que je l'entendais me proposer quelque chose à boire ou à manger. Le voir dans un tel état, voir qu'il ne savait pas comment réagir sur son propre terrain me faisait drôle, vu qu'en tant normal il serait déjà entrain d'enlever les vêtements que j'avais sur le corps. Je n'ai pas soif, mais si tu as quelque chose à... Je n'eus pas le temps de terminer la phrase qu'Elyo se retrouvait quasiment collé contre moi, la main dans le placard qui se trouvait en dessus de ma tête cherchant apparemment du chocolat. Il me connaissait plutôt bien vu que le chocolat était un de mes pêchés mignons. Mon regard dans le sien et la respiration accélérant à cause de sa proximité, je frissonnais au moment où il me frôla, exprès ? Très certainement oui, vu qu'on ne se voyait que pour prendre du bon temps. Au bout de quelques secondes, mon regard se déposa sur la boite qu'il tenait dans sa main et je ne pu pas m'empêcher de passer lentement ma langue sur mes lèvres avant de relever la tête pour le regarder droit dans les yeux. Et bien, cela dépend de la façon dont tu penses manger ça... Parce que je ne sais pas toi, mais moi ce chocolat me donne pleins d'idées. L'une de mes mains se déposa lentement sur son torse et je le poussai légèrement en arrière pour que son dos se place contre le mur de son studio. Mon corps quasiment contre le sien, je pris un biscuit et le croqua lentement sans le quitter du regard, pendant que ma main posé sur son torse, commençait de détacher les boutons de sa chemise.

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Elyo Weaver
Elyo Weaver
ICI DEPUIS LE : 27/04/2014
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MessageSujet: Re: (elyo) n°22 On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T’appelles ça juste des amis toi ?   (elyo) n°22 On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche... T’appelles ça juste des amis toi ? EmptyJeu 17 Juil - 13:52



Je ne me souviens même pas si nous avions un jour échangé plus de trois phrases d’affilés. Genre des vraies phrases. Comme des amis. Sauf qu’enfaite, nous n’étions pas des amis. Je ne connaissais d’elle que son prénom. Anastasia. Tellement suave. Et son nom de famille, quand même. Mais ni son âge, si sa vie je ne connaissais. Sauf son boulot. Bien sûr. C’était là que je l’avais rencontré pour la première fois. Barmaid dans le bar du coin, ce courant électrique qui parcourait nos corps avait, dès le début, été présent. Je reviens vite au temps présent lorsque la jeune femme brune fit sortir sa langue. Langue que je rêvais de voir courir autre part que sur ses douces lèvres roses. Mon seul moyen de communiquer avec elle, c’était pas le sexe. Et je ne voyais pas pourquoi tout ça devrait changer. Raison de plus que je retombais peu à peu sur mes pieds, quand toute cette tension sexuelle refit peu à peu naissance entre nous. Fini papotage et autre moment gênant, nous étions à nouveau sur la même longueur d’onde. J’attrapais la main qu’elle avait posé sur mon torse quelques secondes auparavant, posant celle-ci sur mon épaule. Rapidement, je passais mes mains sous ses fesses - ô seigneur, quelles fesses - et tout en me retournant afin qu’elle ait elle-même le dos contre le mur à son tour, je soulevais cette belle brunette, enroulant ses jambes autour de mon bassin. « Voilà, tout est mieux ainsi ». Je lui fis mon plus beau sourire carnassier. De tout Queenstown, elle devait bien être l’une des seules à ne pas craindre le méchant Elyo. Baaad Elyo qui tue les gentils hommes. Je ricanais en moi-même. Ouais, pas toujours très gentils si ils voulaient mon avis. Mais encore une fois, je n’avais en rien pu me défendre. Jeté en prison la minute d’après. Je secouais la tête, ce n’était ni le moment ni l’endroit pour repenser à ces années perdues. « Il n’y a pas que le chocolat qui me donne des idées ma petite ». Rien qu’à voir son corps, des centaines d’idées me traversaient l’esprit. J’approchais lentement mon visage du sien. « Et sinon, une dernière revendication ? » Sans vraiment lui laisser le temps de répondre, j’appuyais mes lèvres contre les siennes. J’irais pas jusqu’à dire que ça m’avait manqué, d’autres avaient pris place entre temps, mais Anastasia était sans doute l’une des seules avec qui j’aimais réellement passer du temps, que ce soit dans un lit, sur un canapé, dans une salle de bain. Et qui ne me dérangeait pas de recommencer. Encore et encore. Généralement, je m’en lassais bien vite. Mes mains toujours sur son petit cul, j’en fis glisser une le long de sa cuisse. « Je te manquais tant que ça que tu viennes ici ? » Bon d’accord, je m’en moquais de sa réponse, tout ce dont j’avais envie, c’était de lui arracher ses vêtements. J’avais même pas envie de savoir si je lui avais manqué. Parce que si c’était le cas, ça serait bizarre. Bizarre parce qu’on s’était promis ; pas d’attachements.

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